Dans la réalisation et l’aboutissement d’un projet combien d’entreprises du CAC 40 sont confrontées à des projets qui sont souvent abandonnés ou si déployés non utilisés. Mon domaine d’expertise était la gestion de projets et grandissant en expérience j’ai appris à demander lorsque je devais intervenir pour piloter un projet quelle était ma légitimité pour induire le mouvement car les causes d’échec que j’avais pu analyser étaient toujours les mêmes :
Manque de méthodologie ce qui paraissait incroyable pour certaine taille de sociétés, manque de connaissance en la matière, manque de compétences complémentaires, de savoir-faire, rétention d’informations, guerre de pouvoir, manque de sollicitation du métier , des utilisateurs, peu de conduite de changement…et bien d’autres raisons encore.
Et quand bien même les connaissances étaient là, encore fallait-il capitaliser dessus, établir une stratégie opérationnelle tournée vers l’action, action efficace via un esprit d’équipe, des rôles et des responsabilités bien définies où chacun pouvait donner un sens à son action. Action qui pour être constructive devait impliquer tous les acteurs même ceux du passé, en ne reniant pas systématiquement le travail des prédécesseurs. Or la motivation et la reconnaissance passent par le respect de ce qui est fait mais aussi de ce qui a déjà été fait. Pourquoi réinventer la roue ? Ne pas mixer le savoir et l’agir de tous ensemble ? Pour laisser sa trace, son empreinte au nom de quoi …d’un ego qui ne se laisse pas dompter, qui continue à parler, à agir.
Il y a dans les faits certes un écart entre savoir et agir et pourtant l’un ne va pas sans l’autre :
SAVOIR sans AGIR n’est que pure intellectualisation, conceptualisation et ne mène à rien de concret avec au bout un sentiment d’insatisfaction. A quoi bon savoir tout cela si on n’en fait rien. Quel sens donner à sa vie, à son travail.
Agir en ne tenant pas compte du savoir et du savoir des autres amène à de la résistance au changement, à un résultat difficilement partagé et partageable ; à un sentiment d’inutilité dans tout cela ; à un gâchis de potentiel, de ressources ; à une absence d’identification.
« Tirer des leçons du passé, de l’expérience est le meilleur moyen de trouver la plus haute énergie pour avancer » a déclaré récemment un homme politique lors d’une interview à l’émission de la bibliothèque de Médicis.
A ma façon j’ai taché d’œuvrer à rendre mes collaborateurs efficaces en utilisant leur plein potentiel – parfois en révélant leur talent dans l’action – afin qu’ils savent ce qu’ils faisaient et pourquoi (pour quoi) ils le faisaient. La réussite vient de la synergie entre le sens et la performance.
Je vois dans le savoir la parole du sage, du guide au service de l’action pour au final être tout simplement (et surtout mieux-être).
J’ai vu dans le Coaching le meilleur moyen de combler cet écart, un moyen d’établir un pont naturel, bienveillant entre le SAVOIR et L’AGIR. J’aime à décliner le savoir et l’agir en utilisant les bases du coaching : Je sais (je découvre mon potentiel) – j’agis (en me connectant à mes ressources intérieures)/ agir pour grandir, m’accomplir et j’ajoute au final je suis (en accord en harmonie avec moi-même). Le « je », est valable pour moi et les coaché.
J’ajouterais que pour tout chose, il convient de pratiquer, d’expérimenter et d’intégrer dans les muscles tout ce savoir afin qu’il devienne un savoir-faire au service d’un savoir-être.
Car c’est dans l’intégration de cette compréhension d’être et de faire que l’être humain évolue, se perfectionne, trouve sa raison d’être et s’épanouit.
J’aime bien cette citation de William Barclay : « Il y a deux moments importants dans la vie : le jour où nous venons au monde et le jour où nous découvrons pourquoi »
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